L’Europe : Nouveau Monde du Vin !

Je vous propose de nous considérer comme européen. Ainsi, voyez notre position sur le marché du vin mondial :L’union européenne est le premier producteur mondial de vin avec plus de 45% des superficies (soit 3,4 millions d’hectares) et 60 % de la production (près de 180 millions d’hectolitres produits en moyenne ces 5 dernières années). Elle est aussi le premier consommateur avec près de 60% de la consommation mondiale, le premier importateur (12 millions d’hectolitres en 2005) et le premier exportateur (13 millions d’hectolitres en 2005).Loin derrière la France, l’Espagne et l’Italie, vous trouverez les Etats-Unis, 4e producteur avec environ 20 millions d’hectolitres.Ce qui nous fait peur et réagir ce sont les chiffres exponentiels concernant les quatre autres principaux producteurs mondiaux :Les importations en Europe ont augmenté de manière spectaculaire en dix ans: Afrique du Sud (+770%), Australie (+500%), Chili (+270%) et Etats-Unis (+160%).Enfin, comme la consommation de vin dans l’Union baisse de quelque 750 000 litres par an (-0,65%), les excédents de production deviennent problématiques et entrainent la disparition des entreprises les plus fragiles sur ce secteur.On compte plus de 1,6 millions d’exploitations en Europe qui fournissent 5,4% de la valeur de la production agricole de l’Union alors qu’elles n’absorbent que 2,5% des dépenses du Fonds européen agricole de garantie.

Rendez-vous compte, 1.6 millions d’exploitations en Europe !!! Il y a de quoi trouver son bonheur et ses vins préférés !

Soyons ShowViniste !

L’Europe : Nouveau Monde du Vin !

Je vous propose de nous considérer comme européen. Ainsi, voyez notre position sur le marché du vin mondial :
L’union européenne est le premier producteur mondial de vin avec plus de 45% des superficies (soit 3,4 millions d’hectares) et 60 % de la production (près de 180 millions d’hectolitres produits en moyenne ces 5 dernières années). Elle est aussi le premier consommateur avec près de 60% de la consommation mondiale, le premier importateur (12 millions d’hectolitres en 2005) et le premier exportateur (13 millions d’hectolitres en 2005).

Loin derrière la France, l’Espagne et l’Italie, vous trouverez les Etats-Unis, 4e producteur avec environ 20 millions d’hectolitres.

Ce qui nous fait peur et réagir ce sont les chiffres exponentiels concernant les quatre autres principaux producteurs mondiaux :
Les importations en Europe ont augmenté de manière spectaculaire en dix ans: Afrique du Sud (+770%), Australie (+500%), Chili (+270%) et Etats-Unis (+160%).

Enfin, comme la consommation de vin dans l’Union baisse de quelque 750 000 litres par an (-0,65%), les excédents de production deviennent problématiques et entrainent la disparition des entreprises les plus fragiles sur ce secteur.
On compte plus de 1,6 millions d’exploitations en Europe qui fournissent 5,4% de la valeur de la production agricole de l’Union alors qu’elles n’absorbent que 2,5% des dépenses du Fonds européen agricole de garantie.

Rendez-vous compte, 1.6 millions d’exploitations en Europe !!! Il y a de quoi trouver son bonheur et ses vins préférés !

Soyons ShowViniste !

A bien consommer avec modération…

Ça se confirme. Le vin est une boisson qui expliquerait, vous le savez certainement déjà, le fameux French Paradox. Depuis 20 ans, des études scientifiques ont mis en évidence que les Français ont un taux de mortalité par infarctus du myocarde deux fois moins important que dans les pays anglo-saxons. L’explication a été notamment d’avancer un effet bénéfique des substances que l’on retrouve dans le vin.Pour être honnête, il faudrait davantage parler de la différence de modes de vies et d’alimentation entre les pays méditerranéens et les pays anglosaxons ! Dans ce cadre, le vin a tout autant son importance que les huiles végétales et la consommation de fruits et légumes.Une autre étude, plus discrète apparemment, donne également un résultat qui a en a surpris plus d’un. Il s’agit de l’étude appelée PAQUID envers le vieillissement cérébral et fonctionnel après 65 ans, pour identifier les sujets à risque de détérioration physique et intellectuelle, comme la maladie d’Alzheimer par exemple.Une des nombreuses constations et conclusions avance qu’une consommation modérée de vin est associée à un risque 5 fois moins élevé de démence. Ce résultat inattendu devrait faire l’objet d’études complémentaires visant à rechercher l’effet éventuellement protecteur du vin (effet antioxydant ou action sur le métabolisme des lipides).Il est agréable de voir que le vin, consommé avec modération, n’a pas encore révélé tout ses bienfaits, même insoupçonnés…Et si on militait pour un étiquetage des effets bénéfiques de cette consommation modérée sur les bouteilles de vins. C’est vrai ! pourquoi toujours voir les mauvais côtés des choses ?Oui, on le confirme, on consomme le vin avec modération et un réel plaisir de partager un moment ou une émotion avec des amis. Alors si en plus, ce comportement nous apporte un mieux être, mis en évidence par des études scientifiques, pourquoi s’en priver. Cela renforcerait positivement la consommation modérée de vin, non ?!

A bien consommer avec modération…

Ça se confirme. Le vin est une boisson qui expliquerait, vous le savez certainement déjà, le fameux French Paradox. Depuis 20 ans, des études scientifiques ont mis en évidence que les Français ont un taux de mortalité par infarctus du myocarde deux fois moins important que dans les pays anglo-saxons. L’explication a été notamment d’avancer un effet bénéfique des substances que l’on retrouve dans le vin.
Pour être honnête, il faudrait davantage parler de la différence de modes de vies et d’alimentation entre les pays méditerranéens et les pays anglosaxons ! Dans ce cadre, le vin a tout autant son importance que les huiles végétales et la consommation de fruits et légumes.
Une autre étude, plus discrète apparemment, donne également un résultat qui a en a surpris plus d’un. Il s’agit de l’étude appelée PAQUID envers le vieillissement cérébral et fonctionnel après 65 ans, pour identifier les sujets à risque de détérioration physique et intellectuelle, comme la maladie d’Alzheimer par exemple.
Une des nombreuses constations et conclusions avance qu’une consommation modérée de vin est associée à un risque 5 fois moins élevé de démence. Ce résultat inattendu devrait faire l’objet d’études complémentaires visant à rechercher l’effet éventuellement protecteur du vin (effet antioxydant ou action sur le métabolisme des lipides).

Il est agréable de voir que le vin, consommé avec modération, n’a pas encore révélé tout ses bienfaits, même insoupçonnés…Et si on militait pour un étiquetage des effets bénéfiques de cette consommation modérée sur les bouteilles de vins. C’est vrai ! pourquoi toujours voir les mauvais côtés des choses ?
Oui, on le confirme, on consomme le vin avec modération et un réel plaisir de partager un moment ou une émotion avec des amis. Alors si en plus, ce comportement nous apporte un mieux être, mis en évidence par des études scientifiques, pourquoi s’en priver. Cela renforcerait positivement la consommation modérée de vin, non ?!