Découverte de vins au Trinque Fougasse

Monsieur Dominique Boudet sait accueillir sa clientèle. Bar à vin qui ressemble davantage à une salle de spectacle intimiste, le Trinque Fougasse réunit de quoi passer un excellent moment, un piano, une scène, de l’espace, une bonne musique, du bois un peu partout et des vins tout autour.Si vous souhaitez manger, on vous proposera d’abord de venir au comptoir choisir votre vin en dégustant une sélection du jour.Pour ma première fois, je découvre 2 vins excellents qui me donnent aussitôt une furieuse envie de rendre visite aux vignerons qui sont capables de réaliser un tel vin.

Clos de la Plénitude

Le clos de la Plénitude du château Haut-Blanville, un très intéressant grenache en grès de montpellier qui ouvre sur une gamme étendue du domaine et une très belle maitrise de la vinification. Si vous souhaitez en savoir plus

La Terrasse d'Elise

Pradel est une cuvée 100% Cinsault du domaine de Xavier Braujou, la terrasse d’élise. Très étonnant vin rouge sur ce cépage en vin de pays du coup ! J’ai comme l’impression d’une animalité en bouche, très bien assaisonné avec des épices pas trop marquées et beaucoup de finesse. A la dégustation me vient déjà une forte curiosité pour le bonhomme.J’aime une telle cave quand elle vous envoute quand vous ne vous y attendiez pas. Mais, si vous souhaitez être rassurés, vous y trouverez également quelques grands noms comme ces deux bouteilles de la Grange des pères; Sur la photo ci-dessous, le prix à emporter et à consommer sur place (à la bouteille et au verre) ainsi que l’adresse de trinquefougasse.com

La Grange des Pères
La Grange des Pères
Pezenas Fête des Morts

Notre guide

N’en déplaise à notre culture aseptisée contemporaine, la mort peut se fêter…autrement qu’en achetant des chrysanthèmes aux portes des cimetières le 1er Novembre.

Pézenas, a de cette folie apparente, tirée par l’énergie de quelques uns, regroupés au sein de l’association « Le Théâtre des Origines ». Il ne s’agit pas d’un attrape touriste d’arrière saison auquel on vendrait encore un peu plus notre âme pour en vivre. Il ne s’agit pas davantage de ces agitations de façades, amicales d’anciens, traditions de folklore qui n’intéressent plus personne, pseudo fête de village regroupant le maire, ses adjoints et les assoiffés du vin d’honneur.

Non, Pézenas a de cette folie que des hommes lui donnent, sans valeur marchande, sans bénévolat, par besoin, par envie, par nécessité. Car Pézenas est en vie et fête les Morts, traçant dans les ruelles de la ville, un cortège impressionnant. Partant de la mairie, à la nuit tombée, ce samedi soir, rythmé par les tambours des musiciens d’Els Berros de la Cort, notre guide perché sur des échasses, éclairé par une lampe torche accrochée autour de sa grande canne, scande « Alegria », « Alegria », « laissez passer l’Armier, le messager des âmes, suivons-le dans lo passa, la carrièra de Martror. »

Plus de 2 heures à le suivre, à chercher ce lien qui nous unit sur ce bout de terre que nous avons tous choisi, pour y vivre, y exister et forcément y mourir. Il y a dans cette fête ce que dans le vin on parle de terroir, cet attachement à nos origines. Pézenas nous invite à lier à nouveau le visible et l’invisible, à rapprocher son passé de l’avenir que nous lui fabriquons chaque jour.

Atelier Marketing : Une vidéo pour travailler sa présentation

En parcourant le programme du prochain salon des Coqs d’or 2009, organisé à l’hotel pulmann à Paris les 28 et 29 Novembre, j’ai découvert une très très très longue vidéo du salon. (19mn)Peut-être par déformation professionnelle, je n’ai pu m’empêcher d’y voir là, un très bel exercice pour tous ceux qui veulent apprendre comment se présenter et promouvoir ses produits, face à une caméra ou lors d’un salon sur son stand.La vidéo passe en revue apparemment tous les stands du denier salon certainement et on obtient ainsi une succession impressionnante de « mise en danger » du commercial ou de l’artisan. La critique est facile et je serais loin de pouvoir maîtriser cet art de la présentation et de l’élocution.Allez-y, regardez en entier ou quelques extraits. Vous y verrez aussi bien les travers à surtout ne pas faire et les astuces ou aisances naturelles de certains.Je vous conseille la présentation des vins en côte du rhône village, de Rasteau qui se résume à 12 secondes de prise de parole pour atteindre la phrase catastrophique : « Euh voilà…que dire de plus » ! C’est un très bon cas d’école pour chacun d’entre nous et un bon point de départ de progression.C’est autour de 3mn30 sur la vidéo :

[dailymotion xaqa12_salon-des-coqs-dor-2008_lifestyle nolink]
L’originel de Cahors, c’est du vin naturel par Simon Busser

simon busser originel cahors Prayssac

J’ai rencontré Simon sur un salon convivial cet été, en pleine chaleur. Il avait une barbe de plusieurs mois, au moins, qui tombait sur sa poitrine. Pour vous dire à quel point nous étions loin des ambiances distinguées et feutrées des salons parisiens, simon était tout simplement torse nu ! Le naturel c’est ça. Ca peut surprendre, je le comprend !Et comme Simon n’est pas du tout cadre commercial dans le civil, il n’a fait aucun autre effort de présentation. Pas de PLV sur son mini stand qui se résumait à un tonneau et un parasol. Donc à part ce grand gaillard campé sur un physique à faire craquer pas mal de consommatrices averties, ces chères femmes amatrices de vins qui nous sauverons tous de la surproduction, seule son unique cuvée trônait et attirait l’oeil.

simon busser et sa jument

Sous ce soleil, le vin était imbuvable et il ne me resta que l’option d’emporter un échantillon chez moi pour le déguster plus tard, au frais. Alors cette cuvée l’originel ouverte il y a une semaine est réellement une découverte. Un fruit incroyable en bouche avec un velouté de tanin assez fin et une belle longueur. Le vin est noir, fidèle au Cahors mais sans aucun marquage de bois, sans lourdeur en alcool. Je le précise pour tous ceux qui pensent, même les professionnels, que la barrique sert à apporter des arômes de vanille et de toast au vin ! car cette cuvée est bien élevée 10 mois en fût de chêne.Ce vin vous fera comprendre la maîtrise de l’homme sur la conduite de la vigne, que Simon, certainement pas par snobisme ou par mode, travaille avec une très belle jument. Vous reconnaitrez ses bouteilles en suivant cette étiquette :

L'originel - Cahors

Caveau des arches à Beaune, un restaurant de Bourgogne

La ville de Beaune se visite, en tournant autour si on reste dans sa voiture ou dans un car. On vient de loin, en passant par les vignes, en louchant sur le mont rachet, en se troublant devant la romanée-conti.La bourgogne tourne autour de Beaune et s’enivre d’histoires, de culture, brasse l’oenotouriste, l’embrasse et le chavire. On y prend du plaisir de différentes manières.J’ai choisi sa gastronomie, invité à déjeuner au Caveau des Arches. L’entrée n’a l’air de rien, le long du boulevard qui fait le tour de la vieille ville, une porte, un escalier, vous descendez, et vous découvrez deux salles de restaurant superbes, sous des voutes de pierre de bourgogne datant du 18ème siècle.

Caveau des Arches

Le chef, Marc Gantier est normand, sa cuisine est bourguignonne. J’ai suivi un menu imposé pour accompagner une vingtaine de cuvées différentes. Qu’importe ! Laissez-nous nous imposer des choix. Souvent, finalement, ça ouvre aussi bien sur l’extérieur que sa propre curiosité. ce fut encore le cas ici. Premier émoi, dans l’ordre, l’entrée, du poisson frais, un tartare bien accommodé : Ses pointes de citron et de vinaigre viendront jouer avec l’acidité des vins blancs.

tartare en entrée

Le plat parle du terroir : foie gras poellé sur un lit de purée de pomme de terre, un régal de saveur, de tendresse, de douceur en bouche. on cherche un vin souple, fin, aux tannins qui s’étirent vers le palais, à un velouté en écho sur un Corton 2003. L’assiette est assez grande pour y recevoir une  découpe délicate d’un magret de canard rosé, fondant en bouche. Rarement déguster ces deux plats en même temps avec autant de plaisir.

Foie gras poellé

Le dessert a suivi le même chemin. Belle rigueur de service pour amener, au nez, des parfums de chocolat chaud en croquant dans le fondant. Seule ma femme sait faire aussi bien. Un large sourire de coulis de fruit rouge sur l’assiette blanche, une feuille de menthe, quelque autres amuses bouches aromatiques et une belle boule de vanille. Chacun a sa place et la découverte du plat donne le temps de ressentir les aliments et leur mariage.

Fondant au chocolat

Le restaurant se trouve là :Voir la google carte

Nu dans les vignes de la Bourgogne avec Greenpeace

Pendant que le petit monde du vin remâchait encore l’impact déplorable du reportage d’envoyé spécial,

Pendant que dans le grand monde du vin, celui du marché global, on rigolait encore de ces « Frenchies » qui se mutilent régulièrement sur leur domaine d’excellence et de compétence, et font tout pour sacrifier leur leadership,

713 participants ont répondu à l’appel de Greenpeace et Spencer Tunick pour réaliser une fresque humaine dans une vigne de Fuissé en Bourgogne.En voilà un bel exercice de communication. Rien à voir certes avec la dénonciation des pratiques oenologiques abusives puisqu’il s’agit ici de simplement provoquer l’intérêt des medias et donc de nous tous, en venant nous titiller sur nos fantasmes, tabous et autres c’est variable selon chacun, en mettant nu des hommes et des femmes dans un endroit où ils devraient tous être couverts.Ca n’a rien de sexuel et pourtant ca attire toujours la curiosité.Le fond est tout de même de nous rappeler l’urgence de trouver une solution et de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre.

Vous trouverez les coulisses et un peu de voyeurisme sur cette vidéo :

[youtube JkdNPHH4jN4 425 350]

Envoyé Spécial : Pasteur aurait dit : le vin est la plus saine des boissons

Si Pasteur avait vu l’émission d’envoyé spécial sur france 2, ce jeudi 1er Octobre 2009, aurait-il encore dit : « le vin est la plus saine et la plus hygiénique des boissons » ?

Bien sûr, à l’époque, l’eau n’était pas aussi traitée qu’aujourd’hui et le vin beaucoup moins fort en alcool. Ce que j’ai trouvé vraiment déplorable, c’est cette accumulation stérile sans recul, sans une réelle explication des processus de conception du vin, entassant l’un derrière l’autre, pesticides, soufre, chaptalisation, levurage, impasse commerciale du pauvre viticulteur du Roussillon. Et puis, il y avait ce côté très sketch avec notre bon pierre Frick que l’on ne comprend pas exactement ce qu’il fait déguster à des restaurateurs qui se vantent de se pochetronner glorieusement sans avoir mal à la tête grâce aux vins naturels !!! C’est grotesque !Même chose en Beaujolais lors du procès de vignerons qui ont abusé sur le sucre avec l’avocat qui contredit son client avec son accent terreux. Et s’en suit, le passage sur le champagne où là encore un intervenant donne de lui une image ridicule.

Je ne sais quoi en penser. Je devrais être content ! On a évoqué les coulisses du vin auprès du grand public, mais je ne peux m’empêcher de penser que rien n’a été dit pour réellement donner une belle image du vin. J’aurais préféré au moins 3 reportages séparés pour que l’on prenne le temps d’expliquer les choses. J’aurais aimé que l’on donne davantage la parole aux vignerons.

Dites Monsieur Pasteur, prendrez-vous encore un verre de vin ?

pasteur et le vin

Caudalie met du premier cru en crème

Caudalie, vous connaissez, une petite maison de produit de beauté et de soin située sur le Château Smith Haut Lafitte. Après 7 ans de recherche d’une armée de vinothérapeutes, ils ont élaboré une crème anti-âge regroupant pour la première fois, les 3 brevets emblématiques Caudalie :Le Resvératrol,La Viniférine de vigne titrésLes Polyphénols de raisin.

Caudalie a l’art et la science de sublimer tous les bienfaits de la matière qui tourne autour de la vigne et du raisin. On s’étonne de lire dans la liste des ingrédients de cette crème, par exemple, de la Vinolevure®, de l’ huile de pépins de raisin et de l’absolu de rose. La démarche se complète d’une attitude cosm-éthique en précisant ceci dans la

constitution du produit : 0% parabènes, phénoxyéthanol, colorants, huiles minérales… Contre les tests sur les animaux.

Le flacon de 50ml vous en coutera 89 euros.  Ca fait réfléchir ! Un peu comme l’achat de certaines bouteilles de premier cru ! Vous pouvez en gagner un échantillon sur le site de youwineblog (ici) en participant à un tirage au sort avant ce dimanche 27 Septembre 20h20.

Science&Vie, pour tout savoir sur le vin

Un bel effort fait dans ce Science & Vie spécial Vin, sans être trop racoleur ni décalé avec beaucoup de questions-réponses. Il confirme le fait que le vin demeure une énigme, s’approche du domaine de la science, de l’occulte, d’un savoir que des initiés se partagent et dont il faut s’intéresser et s’investir pour le connaitre vraiment.

la science du vin

Objet de savoir donc objet de désir et de pouvoir : Qui maîtrise cette science du vin a le pouvoir de comprendre et d’apprécier ce que l’ignorant ne pourra jamais. Le vin sera bien source de désir.Voilà pourquoi un des articles s’intitule « Les grands crus révèlent leurs secrets » et détaille la singularité de 3 vignobles exceptionnels : Château Yquem, Château Margaux et la Romanée-Conti. A noter que, outre le prix délirant des bouteilles, il y a une sacrée différence de production entre les deux bordelais, qui dépassent les 100 000 btl par an et la Romanée qui affiche 6 000 btl seulement et 1,8 ha. Et comme par hasard, certainement, ce dernier est conduit en biodynamie. Au passage, on constate malheureusement  que le magazine propage lui-aussi une image « mystérieuse » de ce type de démarche. Bien évidemment, le mystère ici sur la Romanée-Conti est renforcé par l’histoire du domaine et le prix incroyable d’une bouteille : 10 000 euros. A ce prix-là, c’est certain, la magie est grande !Je pense à toutes ces bouteilles dans ma cave qui ne dépassent pas les 15 euros, dont la plupart vient de ces vignerons apparemment « illuminés » …si les gens savaient…

Bon, c’est sur, c’est loin des 200 000 btl de Margaux produites chaque année sur 88 ha cultivés « de façon raisonnée » avec des produits phytosanitaires (c’est à dire des pesticides et autres) et seulement quelques expériences en cultures biologiques. Apparemment, selon Philippe Bascaules, il voudrait faire mieux à Margaux mais il semble que « probablement c’est sous la pression du lobby phytosanitaire que l’on a jamais cherché des solutions biologiques satisfaisantes« . (?) Encore une histoire de pouvoir, je vous dis, de ceux qui possèdent le savoir pour traiter à coup sûr la vigne et garantir chaque année une production indispensable pour les propriétaires du château. Je n’ose imaginer la valorisation d’une vendange de Margaux avec ses 200 000 btl. On en trouvera chaque année aux Foires aux vins dans les grandes surfaces. Ouf ! Nous voilà rassurés…eux aussi (merci la phyto).

Et puis, petit dérapage, un article complet sur « l’Art du Vin aujourd’hui », avec plusieurs petites choses affirmées sans esprit critique, comme de nous dire que « l’élevage en barrique de chêne est souhaitable pour stabiliser le vin et que du coup des arômes de bois imprègnent le vin. » C’est certain si les barriques sont neuves et que l’on recherche un goût boisé, toasté ! Ce sont bien deux choses différentes : élevage du vin dans une barrique et recherche d’un goût boisé. Surtout que l’article enchaine sur l’alternative d’utiliser des copeaux de bois. La justification de la barrique indispensable pour l’élevage disparait aussitôt du texte.On nous explique aussi le rôle des levures « naturellement présentes sur les baies, mais qu’on incorpore à présent dans les cuves en quantités voulues ». Ca c’est fait ! Et pas de panique, il y aussi des bactéries qui nous mènent la vie dure quand on veut faire du vin. « On essaie actuellement de gagner du temps sur la vinification en pratiquant la co-inoculation des levures et des bactéries » explique Marie-Catherine Dufour de la chambre d’agriculture de la Gironde.  C’est beau ! propre et bien fait tout ça.Finalement, on retient que pour faire des grands crus, il faut un grand terroir, donc un sol unique (on ne fait du margaux qu’à Margaux, c’est simple à comprendre) mais qu’ensuite en cave il faut du bois, des levures et des bactéries qui viennent d’ailleurs (où est le terroir alors ?), d’un peu de potion magique, le soufre etc…

Je vous conseille de passer directement aux articles sur les défis du vin. il y a des points très pertinents notamment sur la mondialisation du marché du vin.

Foires aux vins :quel ennui !

C’est parti, après la foire aux cartables, la foire aux fournitures scolaires, la foire aux blancs,  les hypermarchés se lancent de plus en plus tôt dans les foires aux vins. Même le hard discount s’y met en force. A croire que nous sommes tous avec des caves vides, sitôt l’été terminé.Il semble que le phénomène prend chaque année de plus en plus d’ampleur. Il faut dire que la couverture médiatique est assez large, même à la grand messe de 20h on y voit des reportages sur la préparation des rayons.

Comment peux-t-on encore croire à l’authenticité de produits que tout le monde va retrouver partout en France, au même moment, par caisse de 6 ? Franchement, soit c’est une mode, soit le consommateur suit le troupeau aveuglement, soit nous avons perdu tout jugement réaliste et critique, surtout lorqu’il s’agit de consommer mais surtout lorsqu’il s’agit d’acheter, voir même lorsqu’il s’agit de savoir dépenser cet argent qui nous fait défaut. Parait-il !La réponse aux problèmes d’achat : dépenser mieux ! Ha oui ! mais quand ? Mais maintenant :

Oyez, oyez, braves gens, les enseignes, les médias, les guides, les forums, les blogs, tous vous disent, haut et fort, allez-y c’est maintenant qu’il faut dépenser son argent dans le vin. Vous avez 15 jours selon une période variable en fonction des magasins. Et tout le monde de se mettre à acheter du Brocard en Chablis, du Duboeuf en Beaujolais, du Gérard Bertrand en Languedoc, du  Jaboulet en Côte du Rhône, comme si c’était une super affaire !!! Quelle ennuie, tout de même ! Et je ne vous parle pas des Chateaux de Bordeaux qu’on ne sait plus si c’est encore du vin ou un placement financier. Le top ce Bordeaux : savoir dépenser cet argent qui nous manque  en investissant dans le vin hors de prix que l’on

n’ouvrira jamais de peur de perdre ledit investissement.

Il doit bien y avoir un Chatô Auchan avec pour propriétaire Monsieur Chanau (chan au…au chan), on s’amuse tant chez les grandes enseignes.

Alors contre et face à tout cela, mon conseil tient en une phrase : soyez curieux, déplacez-vous et découvrez un nouveau monde du vin vivant !