Les Fusionels : le vin par amour en AOC Faugères
Savez-vous que le vin assemble aussi bien les cépages que les cultures, les genres et les deux visages du monde.
Prenez par exemple une belle champenoise qui s’en va en Australie, armée tout autant de ses diplômes en œnologie à Beaune qu’en commerce international à Paris, et faites-lui rencontrer un jeune vigneron dans les vastes paysages de vignes. Ensemble, ils vont chercher le meilleur endroit pour réaliser leur rêve et trouveront ce paradis, ici, en Languedoc, sur le réputé terroir de Faugères. Ils leur faudra attendre pas moins d’un an et demi avant de trouver les parcelles idéales, en altitude, sur un sol couvert de schistes.
Puis ils décident de nommer leur aventure et leur domaine : Les Fusionels, choisissent un emblème bien à eux : une statue symbolisant l’union de leur passion commune et se lancent aussitôt dans leurs premières cuvées.
Premier essai transformé avec deux médailles au concours des grands vins du Languedoc-Roussillon : le bronze avec la cuvée le rêve, un pur grenache velouté et fruité, et l’or avec la cuvée les intemporelles. L’aventure se poursuit par la construction d’un chai de 1300 m² sur deux étages à Cabrerolles, sur le sommet de l’appellation Faugères, entaillant une partie de la roche. Ainsi, bien à l’abri, les vendanges seront traitées par gravité et une grande salle de dégustation avec vue sur le vignoble et jusqu’à la mer et les Pyrénées devrait magnifier les vins.
Saviez-vous qu’il existe encore et toujours, sur ce vignoble du Languedoc, que beaucoup s’acharne à déraciner, des âmes passionnées bien décidées à relever le défi de la mondialisation. S’il ne fait aucun doute que Les fusionnels vont se faire une belle place au soleil, ne perdez pas l’occasion d’être séduit en dégustant leurs prochaines cuvées. Sachez, vous aussi, tourner avec ce nouveau monde du vin.
Arielle et Jem Harris
Les Fusionels
AOC Faugères
www.les-fusionels–faugeres.com
Comme j’ai déjà bien aimé les bulles de Marie, je ne vois pas pourquoi je n’aimerais pas les nectars du Faugères, même étant de Gaillac et ayant vécu à Clamart.( Rien que des pays divinement de vins ).Bon sang ne saurait mentir.Pour l’anecdote, ou alibi si vous voulez, ma mère, catholique, m’avait fait baptiser en l’Abbaye Saint Michel de Gaillac lors d’une belle journée ensoleillée de fin de juin 1946. Mon père, d’origine protestante, après le rite catholique, m’a vite emmené dans un estaminet situé place du Griffoul (fontaine en languedocien !) puis m’a passé une gousse d’aïl sur les lèvres, laquelle fut associée à un doigt de vin blanc…………..Comme pour le baptême du bon roi Henri IV.Que ce souvenir de mets d’aïl soit bénéfique pour vous en amène de nombreusesBizzzzzzzzzzP.S: Arielle, te souviens-tu de Clamart, un soir d’été, avec Arnaud?
Pas mal ce blog d’amour telephone