Fat bastard : une marque de vin français qui a conquis l’amérique

Bien que Fat Bastard soit une insulte plus ou moins amicale en langue anglaise, il fallait oser la lancer à travers le monde pour représenter une marque de vin, qui plus est, française !!! Lancée en 1998 avec deux vins de cépage – le Chardonnay et la Shiraz, la marque FAT bastard a percé aux Etats-Unis, en devenant une des 3 premières marques de vin français Outre-Atlantique. En effet aujourd’hui, ce sont  plus de 4 millions de bouteilles FAT bastard qui sont vendues dans 16 pays chaque année (Pays Bas, USA, Canada, Emirats Arabes Unis, Norvège, Chine, Danemark, France, etc.)

La petite histoire de FAT Bastard est la suivante : Thierry (oenologue français) et GUY (son agent anglais et néanmoins ami), ont créé FAT bastard presque par hasard. Thierry effectuait des essais au fond de sa cave, laissant reposer des vins sur lies en barriques; Lors d’une dégustation avec son ami, Thierry s’exclama… « Now zat iz what you call eh PHET bast-ard: », (avec un fort accent français); Cette expression « très british » exprimait parfaitement toute la rondeur et la richesse de ce vin finement boisé.
Et c’est ainsi qu’on le nomma FAT bastard…

Pour célébrer une année riche en développement et couronner 10 ans de succès, Gabriel Meffre, Négociant-Eleveur à Gigondas et producteur de la marque depuis son origine, a voulu compléter la gamme avec un vin de fête et de plaisir : FAT bastard Sparkling, un vin mousseux de qualité dans un habillage toujours détonnant et particulièrement élégant. Le Fat bastard Sparkling a été présenté en avant première au SIAL Paris en octobre 2008 et sera présent en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen Orient et en Europe du Nord dès la fin de l’année 2008 !

Fat bastard : une marque de vin français qui a conquis l’amérique

Bien que Fat Bastard soit une insulte plus ou moins amicale en langue anglaise, il fallait oser la lancer à travers le monde pour représenter une marque de vin, qui plus est, française !!! Lancée en 1998 avec deux vins de cépage – le Chardonnay et la Shiraz, la marque FAT bastard a percé aux Etats-Unis, en devenant une des 3 premières marques de vin français Outre-Atlantique. En effet aujourd’hui, ce sont  plus de 4 millions de bouteilles FAT bastard qui sont vendues dans 16 pays chaque année (Pays Bas, USA, Canada, Emirats Arabes Unis, Norvège, Chine, Danemark, France, etc.)

La petite histoire de FAT Bastard est la suivante : Thierry (oenologue français) et GUY (son agent anglais et néanmoins ami), ont créé FAT bastard presque par hasard. Thierry effectuait des essais au fond de sa cave, laissant reposer des vins sur lies en barriques; Lors d’une dégustation avec son ami, Thierry s’exclama… « Now zat iz what you call eh PHET bast-ard: », (avec un fort accent français); Cette expression « très british » exprimait parfaitement toute la rondeur et la richesse de ce vin finement boisé.Et c’est ainsi qu’on le nomma FAT bastard…

Pour célébrer une année riche en développement et couronner 10 ans de succès, Gabriel Meffre, Négociant-Eleveur à Gigondas et producteur de la marque depuis son origine, a voulu compléter la gamme avec un vin de fête et de plaisir : FAT bastard Sparkling, un vin mousseux de qualité dans un habillage toujours détonnant et particulièrement élégant. Le Fat bastard Sparkling a été présenté en avant première au SIAL Paris en octobre 2008 et sera présent en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen Orient et en Europe du Nord dès la fin de l’année 2008 !

Les Caves de Bailly-Lapierre : Crémant de Bourgogne

Une incroyable gamme de Crémant de Bourgogne en AOC à proximité de Chablis et d’Irancy.

Depuis 1972, les Caves de Bailly-Lapierre exploitent ses galeries d’anciennes carrières dans le but d’élever des crémants de Bourgogne de plus en plus réputés.
Si le Champagne est une appellation réservée, et tant mieux pour la Champagne, il ne désigne pas un secret de fabrication quelconque qui fasse que, seule, La Champagne saurait le produire.
Le crémant de Bourgogne respecte exactement le même procédé pour obtenir un vin effervescent. Seul le terroir varie. La Bourgogne doit sa réputation justement à son terroir et à la qualité de ses Chardonnay comme de ses Pinot. Deux cépages tout autant emblématiques de la Champagne.

 

L’intérêt du crémant réside dans la qualité de cette production pour un prix qui correspond à une réalité de marché beaucoup plus accessible et compréhensible que le Champagne. Nul besoin de se ruiner pour faire la fête avec des bulles ! Car, certes, si le vin effervescent, de la sorte, demande davantage de procédés d’élaboration et de manipulation qu’un vin dit tranquille, il ne faut pas non plus tomber dans l’exagération. La spéculation, la rareté est une chose. Le plaisir en est une autre.

Les crémants de Bailly-Lapierre vous en donneront, du plaisir, et pour un prix incroyable ! Voyez donc l’offre sur la boutique de ShowVin.com :

Domaine de la Cadette : Les Montanet et leurs amis.

saint père en vezelayboutique sabotier

Le domaine respire dans le bas, à Saint-Père, au pied de la basilique de Vezelay. Il se confond avec les autres maisons du village, dans une rue qui passe devant une incroyable église gothique dont le porche imposant frôle la route.
Le vignoble grignotte la colline, autour de la Basilique, sur un sol essentiellement argilo-calcaire, une terre rouge, un peu grasse, fier de faire partie de la famille des AOC Bourgogne.

Catherine Montanet

A la tête du domaine de la Cadette, un couple d’homo-erectus, Catherine et Jean Montanet, vous accueille à bras ouverts, et bien plus. C’est encore une de ces rencontres où l’on espère beaucoup avant de connaître et où l’on reçoit énormément. Comme si il y avait autre chose que le vin quand on vient échanger quelques moments avec un vigneron…un morceau de vie, certainement !
Sur 13,5 ha, répartis en 18 parcelles, sur les quatres communes de l’appellation, le vignoble des Montanet se compose essentiellement de Chadonnay, avec un peu de Pinot Noir et une parcelle minuscule de Melon. La Bourgogne dans toute sa simplicité. La culture de la vigne est en mode biologique depuis bientôt 10 ans dans le souci de bien faire, tout en respectant le sol et la plante. A la rigueur, ils souffrent plus des sangliers, qui pullulent de plus en plus, à la sortie de l’été, que des attaques des maladies classiques de la vigne. C’est le revers de la médaille des vignerons en bio, le raisin donne de l’appétit. En une nuit, ils peuvent ravager une vendange sans problème. Le hic c’est que leur nombre s’accroît chaque année.

Le Chardonnay, en AOC Bourgogne Vézelay, se reconnait sous le nom de cuvée La Chatelaine. Vous aimerez forcément sa minéralité sur des fruits de mer et cette force en bouche qui vous donne envie de la déguster à nouveau.
En rouge, 
 la cuvée l’Ermitage, à l’image du Bourgogne Irancy, introduit un soupçon de César avec une majorité de Pinot Noir. C’est un vin très fin, souple et qui délivre de beaux arômes de fruits.

A recommander sans modération pour tous ceux qui préfèrent les vins naturels aux vins bodybuildés.

Le Mazel : Des vins au naturel

Au Mazel, dans l’Ardèche, dans le petit village de Valvignières, on rencontre Gérald et Jocelyne Oustric, frère et sœur.

bulles de rosé

Le père a façonné le vignoble avant eux et préparé le terrain pour une harmonieuse complicité. Le terroir, baigné de soleil, permet toute liberté. On y retrouve une multitude de cépages : Syrah, Grenache, Cabernet, Carignan et même Merlot pour les rouges, sans oublier le Portan moins connu évidemment. En blanc, trois maîtres d’arômes se partagent la terre : Viognier, Chardonnay et Grenache. Ici, c’est un peu comme un concentré de presque tous les vignobles, un entre-deux de climat, entre le Nord et le Sud. Le sol, comme tout autour, porte les empreintes du Rhône, composé de calcaire et d’argile.

Voilà, le décor est dressé, le mazel peut se mettre à l’ouvrage. Si toutes ses procédures à la vigne se font selon le respect d’une agriculture biologique certifiée, sans apport chimique et sans engrais, les Oustric poursuivent l’effort en cave en privilégiant une démarche naturelle. Le vin se respecte en soi, il lui appartient d’évoluer comme bon lui semble. C’est à l’homme de s’adapter à ses caprices de l’année, au vigneron de soigner ses déplacements, de le remuer le moins possible, de le choyer en quelque sorte. Une autre mentalité que l’usine, le productivisme et le goût standardisé.

Le mazel sera forcément à part dans votre cave, comme un objet de valeur qu’il faudra surveiller, avec appétit !

Jean Maupertuis en Auvergne

jean maupertuis

Jean Maupertuis : du vin naturel en Auvergne, un terroir insoupçonné près des fameux volcans d’auvergne.

Incroyable ! Des vignes en plein coeur de l’Auvergne, dressées face à Clermont-Ferrand, à une sacrée altitude quand même : 450 m. Jean Maupertuis semble bien à son aise, installé ici depuis 1996, à poursuivre son petit bonhomme de chemin, au grès des rencontres et des opportunités. Apparemment, ce n’est pas un homme de lumière, ni de soleil finalement. Il ne cherche pas la gloire et préfère travailler à soigner ses parcelles dans la quiétude de son village de Saint-Georges-ès-Allier.

Aucun panneau n’indique sa cave, discrète comme une vulgaire porte de garage dans une ruelle étroite et en pente. Les pierres des maisons laissent deviner une longue histoire et si les murs ont des oreilles, ils doivent savoir bien des choses depuis tout ce temps… Jean habite au-dessus de la cave, une partie rénovée par ses soins du bâtiment, mêlant le bois, la pierre et la chaux. Certainement qu’il vit pour son vin, tout naturellement.

cuve béton vin

Derrière la porte de la cave, des cuves béton peintes en bleu frappent le regard de suite. Ensuite, en s’habituant à la pénombre, on devine les quelques fûts dans lesquels crépite encore du chardonnay. A nouveau, la surprise : Du chardonnay à flanc de Puy, les pieds dans les granules de lave, par petites grappes. Jean l’élève depuis peu, en barrique, très frais, sur une belle acidité et des notes de fleurs blanches. Le liquide pétille un peu sur les parois du verre et en bouche. Les arômes subtiles plaisent de suite. On se relâche. On se laisse envouter. Et dire que certains déboursent des fortunes sur des terroirs illustres pour boire un tel grand vin. Ne leur dites rien !

vigne auvergne

Jean cultive aussi des parcelles de Gamay et de Pinot noir. En tout, il en a 3 ha et plus depuis qu’il a quitté le domaine de Peyra en 2003. Sans engrais ni désherbant, il fait tout à la main jusqu’à la vendange. En Auvergne, si l’été la chaleur domine dans la journée, il est clair que les nuits sont très fraiches. Surtout à cette altitude. L’amplitude peut atteindre plusieurs dizaines de degré. De ce fait, la maturation du raisin est plus longue et la charge en sucre moindre. Les vendanges se déroulent en Octobre et Jean profite de la fin Août pour aller donner un coup de main a des amis vignerons dans le Roussillon. Sa vie, le vin, je vous dit !

En rouge, une première cuvée, La Guillaume, se révèle aérienne, légère, avec seulement 10.5°. Un Gamay étonnant de ce fait, à qui on demande simplement de nous désaltérer lors d’un pique-nique entre copains, sans chichi. Dans la vie, il faut aussi des choses simples comme ce vin pour apprécier davantage la complexité du monde.
Une autre cuvée, Les Pierres Noires, agrémente un peu plus la gamme. Le Gamay vient des parcelles les plus anciennes sur une terre définitivement marquée par les empreintes volcaniques, principalement constituée de basalte et d’argile. Ce qui explique le nom du vin comme le nom du village d’à côté où se situent les vignes : Les Roches Noires. Celui-ci encore faible en alcool, 11.5°, bénéficie d’une belle structure et d’un équilibre appréciable. La finesse végétale des parfums titille agréablement le nez. La bouche est légère, fraiche et acidulée.

Ne cherchez pas une quelconque aoc ou autres vdqs. Jean fait des vins atypiques, parait-il ! Alors, il ne mérite selon ses pairs, les officiels, que la mention vin de table. Ma foi, le vin est fait pour ça : être sur notre table, droit dans sa bouteille !