Liste des produits phytopharmaceutiques qui ont le droit d’être importés en France pour un usage personnel

On invente rien. Parfois il suffit juste de lire une note d’information du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt pour se faire peur et franchement se demander comment on doit décrypter ce verbiage.

Alors voilà, je vous laisse découvrir une partie du texte : Note en date du 20 Mars 2013

Liste des produits phytopharmaceutiques en provenance d’un autre état membre de l’union européenne dans lequel ils bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché et dont l’introduction sur le territoire national pour une utilisation personnelle est autorisée.

(on pourra se demander ca veut dire quoi « usage personnel » vu ce qui va suivre ?)

L’introduction sur le territoire national des produits phytopharmaceutiques visés dans le tableau ci-dessous est conditionnée à une déclaration préalable auprès du préfet de la région du lieu de la résidence administrative de l’agriculteur, dans un délai minimum de vingt jours avant la date d’introduction prévue des produits. Les quantités nécessaires à l’exploitation et la date d’introduction des produits sont précisées dans la déclaration. Le préfet peut s’opposer à l’introduction dans un délai de quinze jours.

(Bon et bien messieurs les préfets à vous de jouer donc non ?)

Pour les scrupuleux et les nécessiteux, la liste complète est ici : liste-produit-phytopharmaceutique.pdf 

 

 

UFC que choisir vin bio ou pas ?
Article extrait tel quel depuis le site de l’UFC que choisir de l’Aude. Cela résume en quelques mots et une image, les craintes des vignerons bio ou non bio face à l’émergence d’un réglementation européenne globale qui serait trop laxiste vis à vis de certaines pratiques oenologiques :Bio à la vigne, mais pas à la cave00057_vin_bioLa Commission européenne s’apprête à adopter un règlement sur le vin bio qui risque d’empirer une situation déjà très peu claire et peu compatible avec l’éthique de l’agriculture biologique.

Un règlement européen sur le vin bio : a priori, ce devait être une bonne nouvelle. Eh bien, c’est raté : le nouveau label risque en effet d’introduire un peu plus de confusion dans l’esprit des consommateurs. Jusqu’à présent, le logo AB apposé sur les bouteilles garantissait simplement un vin issu de raisins provenant de l’agriculture biologique, mais le mode de vinification, lui, n’était pas encadré. Hélas, la première mouture du règlement, qui devrait être adoptée dans les prochaines semaines, est d’un laxisme incompatible avec l’éthique du bio.

La Commission autorise ainsi une kyrielle de pratiques oenologiques telles que la flash pasteurisation, une technique qui consiste à chauffer les cuves à 73 °C, tuant du même coup les levures et les bactéries naturellement présentes dans le moût. Il faut alors rajouter des levures industrielles qui induisent des profils aromatiques stéréotypés. Autorisée également, l’osmose inverse, qui permet de retirer l’eau du moût de raisin afin de concentrer le sucre dans le breuvage, mais élimine aussi les acides organiques. « On réduit ainsi à néant tous les efforts réalisés dans le vignoble pour préserver la naturalité du sol et les matières vivantes du raisin », s’indigne Michel Issaly, président des Vignerons indépendants de France (VIF), dénonçant le lobbying du négoce et des coopératives qui veulent investir en masse ce créneau porteur.

Victime des Pesticides : un site internet de témoignage et d’action pour dire non merci

Si l’utilisation des pesticides vous empoisonne la vie, 2 associations ont choisi de dire non merci et d’agir au quotidien. Que vous soyez un particulier, un professionnel ou une collectivité, informez-vous et agissez !!!
Le Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) et l’Alliance Santé Environnement (HEAL, basée à Bruxelles), 2 associations qui œuvrent pour la protection de la santé par la protection de l’environnement.

C’est le principe de responsabilité, tel qu’inscrit dans l’Article 2 de la Charte Française de l’Environnement, qui pousse le Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) depuis plus de 15 ans à s’investir dans un combat pour une agriculture sans pesticides et sans OGM, afin de préserver l’environnement et de prévenir toute pollution. Son action contre les pesticides est en ce sens une action citoyenne et, par définition, responsable.

Health and Environment Alliance (HEAL), organisation européenne basée à Bruxelles – le siège des institutions de l’Union Européenne – a pour objectif de sensibiliser le public sur les bénéfices sanitaires de la protection environnementale. Pour cela elle facilite la représentation citoyenne et l’expertise scientifique dans le processus de décision au niveau des politiques européennes environnementales et de santé.

Au delà des ces 2 acteurs, ce sont aussi des associations locales et des individus qui sont victimes de l’exposition aux pesticides et biocides.

Lire les témoignages sur le site , c’est déjà prendre conscience du combat à mener : extrait :

Anonyme: « J’habite dans un village en Isère. En Octobre 2006, mon fils est tombé malade (leucémie). Nous habitons à proximité d’une parcelle d’environ 1 ha pulvérisée à cet herbicide très connu une fois par an. Nous sommes à distance d’environ deux mètres de la parcelle. Mon fils, en 2006 était en petite tenue et regardait le tracteur pulvériser agrippé au grillage…

Victime des Pesticides : un site internet de témoignage et d’action pour dire non merci

Si l’utilisation des pesticides vous empoisonne la vie, 2 associations ont choisi de dire non merci et d’agir au quotidien. Que vous soyez un particulier, un professionnel ou une collectivité, informez-vous et agissez !!!Le Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) et l’Alliance Santé Environnement (HEAL, basée à Bruxelles), 2 associations qui œuvrent pour la protection de la santé par la protection de l’environnement.C’est le principe de responsabilité, tel qu’inscrit dans l’Article 2 de la Charte Française de l’Environnement, qui pousse le Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF) depuis plus de 15 ans à s’investir dans un combat pour une agriculture sans pesticides et sans OGM, afin de préserver l’environnement et de prévenir toute pollution. Son action contre les pesticides est en ce sens une action citoyenne et, par définition, responsable. Health and Environment Alliance (HEAL), organisation européenne basée à Bruxelles – le siège des institutions de l’Union Européenne – a pour objectif de sensibiliser le public sur les bénéfices sanitaires de la protection environnementale. Pour cela elle facilite la représentation citoyenne et l’expertise scientifique dans le processus de décision au niveau des politiques européennes environnementales et de santé.Au delà des ces 2 acteurs, ce sont aussi des associations locales et des individus qui sont victimes de l’exposition aux pesticides et biocides.Lire les témoignages sur le site , c’est déjà prendre conscience du combat à mener : extrait :Anonyme: « J’habite dans un village en Isère. En Octobre 2006, mon fils est tombé malade (leucémie). Nous habitons à proximité d’une parcelle d’environ 1 ha pulvérisée à cet herbicide très connu une fois par an. Nous sommes à distance d’environ deux mètres de la parcelle. Mon fils, en 2006 était en petite tenue et regardait le tracteur pulvériser agrippé au grillage…

Le rosé restera du vin en Europe : French Wine is not dead !

«Il n’y aura pas de changement dans les règles de production du vin rosé», a indiqué la commissaire à l’agriculture européenne, Mariann Fischer Boel.

C’est clair comme ça. L’Europe montre enfin la voie à suivre.

Profitez-en pour fêter cela en ouvrant un de ces vins rosés ! Comme ce fameux French Wine is Not Dead d’Antony Tortul. Un vrai délice à vous faire devenir un sacré ShowViniste !

French wine is not dead

Retrouvez-le sur la boutique ShowVin.com

Conjoncture vitivinicole mondiale en 2008 : la consommation mondiale de vins, affectée par la crise économique, baisse en 2008

A la lecture du bilan statistique de l’OIV relatif à la conjoncture vitivinicole mondiale en 2008 publié à Paris, le 7 avril 2009, on peut noter les premiers effets de la crise économique mondiale.

En effet, dans un contexte de crise globale, la consommation mondiale de vins affiche, en 2008, une baisse de 2 Mio hectolitres par rapport à l’année 2007. Cette baisse globale est essentiellement générée par une baisse poursuivie de la consommation dans les pays européens traditionnellement gros producteurs et consommateurs : la France, l’Italie et l’Espagne, ainsi que l’Allemagne. On peut noter qu’après 15 années de croissance et malgré un rebond en 2007, la consommation au Royaume-Uni tend à se stabiliser en volume, et que la crise et la dégradation de la parité de la livre sterling conduit à une pression croissante sur les prix d’achat aux fournisseurs, notamment de la part de la grande distribution britannique.
Contrairement à la consommation de l’Union Européenne à 15, dans certains pays la consommation augmente en 2008, notamment, aux Etats-Unis, dont le marché intérieur dépasse pour la première fois la taille du marché intérieur de l’Italie.La consommation australienne continue également sa progression et la conjoncture 2008 enregistre également une croissance importante de la consommation de vins en République Tchèque. De plus, en 2008, l’Afrique du sud, le Chili et la Nouvelle-Zélande (malgré un léger repli) maintiennent des niveaux de consommation satisfaisants et proches de ceux de 2007.

La surface viticole mondiale a également marqué un recul de 28 mha en 2008. A l’origine de cette diminution est le recul du vignoble communautaire à la suite de l’arrachage des vignes dans les pays viticoles européens : l’arrachage définitif en France et la restructuration des vignobles dans les pays rentrés récemment dans l’UE.
Quant à la production globale de vins en 2008, malgré une baisse considérable de la production vinicole européenne, notamment une baisse importante de la production française, la production globale a connu une légère hausse de 1 Miohl. Toutefois, la production globale de 2008, similaire à celles de 2001, 2003 et 2007, peut être qualifiée de relativement faible.
Il est à noter que malgré la crise économique globale, le marché mondial des vins a continué sa progression en volume. Presque tous les grands acteurs, à l’exception de la France et de l’Australie, ont conservé leur position en 2008 : l’Italie est restée le leader mondial en volume de vins exportés, le groupe des six pays nouvellement exportateurs (l’Hémisphère sud et les Etats-Unis) ont également poursuivi leur progression.
« Il est évident que la crise économique mondiale a joué son rôle dans la baisse globale de la demande. Toutefois, les meilleurs résultats ont été enregistrés par le marché mondial des vins, dont le volume augmente d’année en année : les échanges internationaux représentent 37% de la consommation mondiale en 2008 contre 18% en début de décennie 1980 et 35% en 2006, ce qui signifie que près de 37% des vins du monde sont consommés en dehors de leurs pays de production », a déclaré Federico Castellucci, Directeur Général de l’OIV.

Signez la pétition le rosé n’est pas un mélange de vin rouge et vin blanc

La commission Européenne est en passe de lever l’interdiction de coupage des vins rouge et blanc pour faire un vin de couleur rose sans aucune concertation.
Cette proposition de règlement se fait au mépris du savoir faire acquis par les vignerons producteurs de rosé depuis trente ans, de la sauvegarde des régions productrices et de l’attente du consommateur qui apprécie le vrai rosé.
A travers cette pétition :
 » Je m’engage à défendre le rosé dont la qualité est le résultat d’une vinification et je m’oppose à ce que le rosé puisse être un mélange de vin  »

Signez la pétition le rosé n’est pas un mélange de vin rouge et vin blanc

La commission Européenne est en passe de lever l’interdiction de coupage des vins rouge et blanc pour faire un vin de couleur rose sans aucune concertation.Cette proposition de règlement se fait au mépris du savoir faire acquis par les vignerons producteurs de rosé depuis trente ans, de la sauvegarde des régions productrices et de l’attente du consommateur qui apprécie le vrai rosé.A travers cette pétition : » Je m’engage à défendre le rosé dont la qualité est le résultat d’une vinification et je m’oppose à ce que le rosé puisse être un mélange de vin  »