Comment réussir son communiqué de presse ?

Il y a des choses comme celle-ci qui m’interpelle. Vous me direz…c’est technique…ultra spécialisé…pour un public de professionnels…tous parlant la même langue d’initié…voir même un peu évasif…le titre est bien…on appelle cela un chapeau en jargon attaché de presse…mais attention…la conclusion est sévère…nette et précise…on ne fait pas dans la dentelle à la FNESA…V…I…G…I…L…E…N…C…E

 

FEDERATION NATIONALE DES SYNDICATS D’EXPLOITANTS AGRICOLES
11, rue de la Baume – 75008 PARIS – Tél. 01.53.83.47.47. – Fax. 01.53.83.48.48.
Paris, le 28 novembre 2008

COMMUNIQUE DE PRESSE

Les viticulteurs ont besoin de visibilité à court et

moyen terme

Michel Barnier a réuni hier la filière vitivinicole pour faire le point sur la conjoncture, le
plan de modernisation et l’organisation commune du marché.
La FNSEA a alerté les pouvoirs publics afin qu’ils prennent la mesure de la situation
conjoncturelle préoccupante pour de nombreux viticulteurs, dans toutes les régions. La
FNSEA prend acte que la viticulture s’inscrit dans les mesures annoncées lors de la
conférence sur les revenus : aide à la trésorerie, mesures bancaires, allègement des
charges fiscales et sociales.
La FNSEA demande aussi la reconduction en 2009 de l’exonération de la taxe sur le
foncier non bâti.
Concernant le plan communautaire d’arrachage, la FNSEA déplore qu’aucune évolution
ne soit envisagée au niveau communautaire pour permettre de trouver des solutions
aux 11 000 ha de vignes dont l’arrachage ne pourra être soutenu. Jérôme DESPEY,
vice-président de la FNSEA, a demandé avec insistance au Ministre d’apporter des
solutions alternatives pour accompagner dès 2009 ces viticulteurs, en grandes
difficultés.
Enfin, la FNSEA souhaite que la mise en oeuvre nationale de l’OCM se fasse avec
pragmatisme. Les viticulteurs attendent que les aides aux investissements et à la
restructuration se mettent en place rapidement.
La FNSEA restera plus que vigilante sur tous ces sujets.

Contact : Arnaud LEMOINE
Tél : 01.53.83.48.83
Portable : 06.13.24.19.19
e-mail: arnaud.lemoine@fnsea.fr
Web: www.fnsea.fr

La Biodiversité dans l’Europe

A l’occasion de la conférence Biodiversité & Agricultures : Défis d’aujourd’hui, recherche de demain pour une agriculture durable, du 5 Novembre 2008 qui s’est tenue à Montpellier, Michel Barnier, Ministre de l’agriculture et de la pêche, la mise en place de l’IPBES, une plate-forme scientifique-politique intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystemiques, qui prendra la forme d’un GIEC de la biodiversité permettant aux Etats membres de dresser des constats partagés dans ces domaines, préalables indispensables à toute action commune.

Il parait en effet nécessaire  sur le plan européen, d’unir les efforts des Etats membres d’organiser un travail en commun, notamment pour faire de la recherche sur l’agriculture et de la protection de la biodiversité une priorité absolue de la science européenne à terme. L’agriculture doit nourrir le monde de façon sûre et diversifiée, elle ne doit jamais oublier le respect et la valorisation de la biodiversité, aujourd’hui de plus en plus menacée.

Le paradoxe est bien sûr que c’est grossièrement parlant, la recherche qui tue la biodiversité en matière d’agriculture. Pesticides, engrais chimiques, ogm, levures sélectionnées, enzymages, sont des créations de la recherche. Il va falloir une sacrée énergie pour inverser cette tendance dela recherche scientifique.

Certainement, que nous, citoyens et consommActeurs, sommes les plus influents pour ce changement. Celui qui consomme est celui qui passe commande ! Ne l’oubliez pas.

L’avenir appartient à celui qui boit Bio

La Biodiversité dans l’Europe

A l’occasion de la conférence Biodiversité & Agricultures : Défis d’aujourd’hui, recherche de demain pour une agriculture durable, du 5 Novembre 2008 qui s’est tenue à Montpellier, Michel Barnier, Ministre de l’agriculture et de la pêche, la mise en place de l’IPBES, une plate-forme scientifique-politique intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystemiques, qui prendra la forme d’un GIEC de la biodiversité permettant aux Etats membres de dresser des constats partagés dans ces domaines, préalables indispensables à toute action commune.

Il parait en effet nécessaire  sur le plan européen, d’unir les efforts des Etats membres d’organiser un travail en commun, notamment pour faire de la recherche sur l’agriculture et de la protection de la biodiversité une priorité absolue de la science européenne à terme. L’agriculture doit nourrir le monde de façon sûre et diversifiée, elle ne doit jamais oublier le respect et la valorisation de la biodiversité, aujourd’hui de plus en plus menacée.

Le paradoxe est bien sûr que c’est grossièrement parlant, la recherche qui tue la biodiversité en matière d’agriculture. Pesticides, engrais chimiques, ogm, levures sélectionnées, enzymages, sont des créations de la recherche. Il va falloir une sacrée énergie pour inverser cette tendance dela recherche scientifique.

Certainement, que nous, citoyens et consommActeurs, sommes les plus influents pour ce changement. Celui qui consomme est celui qui passe commande ! Ne l’oubliez pas.

L’avenir appartient à celui qui boit Bio

Lutte contre le dopage agricole : les pesticides contre attaquent

Quand une association fait bien son travail, elle est active et attentive. Le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures nous informe ainsi sur les évolutions au parlement de l’examination de la loi Grenelle 1 qui vise à réduire de moitié les usages des produits phytopharmaceutiques en 10 ans en accélérant la diffusion de méthodes alternatives et sous réserve de leur mise au point.

« Divers amendements déposés par M Armand Martin ou Gatignol visent à limiter la portée de cette mesure de réduction de l’usage des pesticides. Ainsi M Philippe Armand Martin, député de la Marne et lui même viticulteur, demande, dans sa proposition d’amendement n° 181, que cette réduction soit calculée « en tenant compte de la politique de réduction des intrants déjà réalisée. » ! Si cet amendement venait à être adopté il s’agirait d’un véritable dévoiement de cette proposition du Grenelle de l’environnement puisque que cela permettrait d’en réduire considérablement la portée en prenant en compte de soi disant efforts passés ! Cette proposition est inacceptable est constituerait un déni des conclusions du Comité Ecophyto 2018 et une véritable provocation si elle venait à être adoptée. Le MDRGF demande aux députés de refuser cet amendement : le projet de Michel Barnier prévoit que cette réduction doit être prise en compte à partir de l’année zéro, soit 2008.
D’autres amendements comme ceux déposés par M Gatignol (217, 218, 219), vétérinaire soutien habituel des demandes du lobby agro industriel, visent également à réduire la portée de cette mesure en limitant l’objectif de réduction. Les amendements 354 et 355 déposés par M Jacob, agriculteur également, visent tout autant à limiter la portée de cette mesure de réduction.
Ils doivent également être refusés par les députés selon le MDRGF qui rappelle que le tout récent rapport de l’INSERM pointe les pesticides comme causes possibles de très nombreux cancers et rappelle que 95% des français trouvent cette proposition de réduction de 50% des pesticides importante ou très importante, (sondage IFOP à la demande du MDRGF).
« Le MDRGF, membre de l’Alliance pour la Planète, compte sur la cohérence de la majorité actuelle pour ne pas laisser passer ces amendements dont l’adoption constituerait un véritable déni de Grenelle de l’environnement. » déclare François Veillerette, Président du MDRGF. »

Si l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, ne modérons pas notre vigilance afin de préserver notre santé, notre bien-être et notre plaisir de boire du vin vivant !!!

Plan Ecophyto 2018 : haro sur les pesticides

écophyto2018

Michel Barnier, ministre de l’agriculture et de la pêche, a présenté le 10 Septembre 2008, le plan « Ecophyto 2018 » en conseil des ministres. Ce plan vise à réduire de 50 % l’usage des pesticides, si possible en 10 ans. Il comprend également le retrait du marché des préparations contenant les 53 substances actives les plus préoccupantes, dont 30 avant fin de l’année 2008.

Ce plan s’inscrit dans la suite du Grenelle de l’environnement comme l’avait demandé le Président de la République.

Tout en maintenant un niveau de production agricole élevé, la France doit produire mieux en réduisant la dépendance des exploitations aux pesticides.

Les axes prioritaires de ce plan:

  • diffuser des bonnes pratiques agricoles économes en pesticides via un réseau de 3000 fermes pilotes,
  • garantir la compétence de l’ensemble des acteurs (utilisateurs, distributeurs, conseillers),
  • dynamiser la recherche agronomique et l’innovation,
  • créer un réseau d’épidémiosurveillance accessible à tous les agriculteurs.

Le plan a été élaboré sur la base des conclusions d’un groupe de travail associant les représentants des utilisateurs, des fabricants, des élus, des scientifiques, des ONG, des administrations et présidé par Guy Paillotin, secrétaire perpétuel de l’Académie d’Agriculture.

« Depuis plusieurs années, l’agriculture française s’est engagée dans de nouvelles pratiques de développement durable apportant la preuve qu’une agriculture à la fois productive et écologiquement responsable est possible. Le plan « Ecophyto 2018 » en est une nouvelle démonstration tout comme l’engagement des organisations professionnelles et syndicales agricoles à l’occasion du Grenelle de l’environnement. C’est un nouveau modèle agricole français qui se construit. » Michel Barnier.